Un salarié abuse véritablement du téléphone sur le lieu de travail, en passant un nombre considérable de communications personnelles…

L’employeur peut-il dans ce cas valablement prouver l’abus de communications téléphoniques d’un salarié au moyen de l’autocommutateur interne ?

Une sanction disciplinaire, type licenciement, peut-elle être fondée par ce type de preuve ?

Ce point n’est pas anodin car, au delà de la problématique classique concernant l’utilisation abusive ou raisonnable du téléphone, il y a souvent un problème de preuve...